The Fault in our stars by John Green:

Bonjour tout le monde ! Aujourd'hui, j'aimerais vous parler de quelque chose en particulier: la lecture en anglais. J'ai déjà lu Nos Etoiles Contraires, deux fois en français, et ma sœur a eu la gentillesse de me donner sa version anglaise. Ici, j'aimerais vous donner mon avis sur le livre mais aussi, mes impression sur la lecture VO.

Si vous souhaitez retrouver mes articles sur des livres du même auteur, je vous invite à lire mon article sur la Face cachée de Margo et celui sur Tortues à l'infini. C'est un auteur que j'adore personnellement, et même si, je n'ai pas aimé toutes mes lectures, j'ai adoré ses réflexions, ses métaphores présentes dans chacun de ses livres !


Résumé:


Hazel Grace est atteinte d'un cancer depuis de nombreuses années et sa mère la force à aller à ce groupe de soutien pour enfant malade. C'est là, qu'elle rencontre un jeune homme en rémission prénommé Augustus.

Mon avis:

- Le roman:

Ce roman est un chef d'oeuvre comme j'en ai rarement vu. Je ne sais pas particulièrement pourquoi j'aime autant ce livre mais je l'aime d'un amour infini. Je l'aime si fort que je suis partie à Amsterdam pour voir les lieux de l'histoire. L'histoire n'est pas pleine de rebondissements, ni d'actions, elle est pleine de métaphores et elle permet de nous confronter à la réalité de ce que ressente les personnes malades comme ces deux jeunes.

L'histoire en elle-même est définitivement touchante par l'histoire des personnages qui ont lutté et luttent encore pour battre leur cancer. Rentrer dans la tête d'une personne malade permet réellement de comprendre ce qu'elle traverse. Hazel Grace m'a touchée par ses réflexions, ses métaphores, sa perception des choses, ce qu'elle pense de la vie, de la mort. Elle ne mâche pas ses mots et se livre à nous comme à un journal intime. Et puis, il y a aussi Augustus Waters, ce garçon drôle, intelligent, plein de surprise. 

Ce livre montre à quel point un livre, qui est une fiction, peut avoir autant d'impact sur le lecteur. Alors oui, cela semble ridicule, bizarre, étrange, d'exprimer ainsi tout mon amour pour du papier et de l'encre en soit. Mais pourtant, je me suis rendue compte en lisant ce livre pour la troisième fois, que certains livres, on a beau les connaître, on a beau les avoir lus encore et encore, ils nous feront toujours ressentir énormément d'émotions, ils nous feront toujours autant rire ou pleurer. 
Et ces quelques lignes ne pourront en aucun cas retranscrire ce que représente vraiment cette histoire.

- Ma lecture en VO:

Pour ma lecture en anglais, je vous avoue que je ne suis pas du tout bilingue mais dans l'ensemble, j'ai plutôt bien compris le livre même si parfois, il y avait certaines expressions ou termes médicaux, incompréhensibles. En soit, même en français, je pense que tous les termes médicaux seraient difficile à comprendre pour un lecteur qui ne travaille pas ou n'est pas intéressé par ce domaine.

La difficulté de lire cet auteur réside dans ses métaphores. Déjà en français, il est parfois difficile de voir où veut en venir l'auteur mais l'épreuve est plus ardue en anglais. De manière générale, lorsque je lis en anglais, il y a toujours des mots que je ne comprends pas alors je cherche à comprendre le sens général de la phrase. Au début, c'est assez difficile comme exercice, lorsque j'ai lu pour la première fois en anglais, je ne lisais que par quinzaine. Puis petit à petit, on s'y habitue, on prend de l'assurance. Je ne suis qu'à ma troisième lecture en VO, mais j'ai pu lire deux cent pages d'une traite en une après-midi, ce qui semblait impossible au départ.

Lire des mots complètement inconnus ne doit surtout pas faire peur. Si le mot en question revient souvent, je cherche la traduction, même si j'ai des grandes chances d'oublier sa signification cinq minutes plus tard. D'autres mots peuvent être compris sans aide extérieur juste grâce au sens de la phrase. De plus, il y a certaines expressions purement américaine ou anglaise, que je n'ai pas appris au lycée ou au collège.

Ce livre en anglais n'est pas simple mais n'est pas dur à mon avis. Il est difficile par les termes médicaux et les métaphores. Mais c'est une bonne expérience. Lire en anglais aide franchement à s'améliorer car on y apprend de nouveaux mots mais aussi, on s'entraîne à lire en anglais. Plus on lit, plus la lecture devient fluide, facile. Cette année, j'ai lu seulement trois livres en anglais, donc je ne prétends absolument pas avoir la science infuse, mais j'ai débuté avec Frozen puis j'ai continué avec  un livre de Cassandra Clare. Dans ce livre-ci, j'ai eu dû mal avec la description majoritairement, les dialogues étaient assez simples à comprendre mais la description m'a posée le plus de problème. Ainsi, chaque livre avec sa plume, son histoire, nous posera des difficultés différentes. 

Bref, j'espère vous avoir aidé en vous partageant mon expérience personnelle de la lecture en anglais. Dites moi dans les commentaires ce que vous avez pensé de cette histoire et raconté moi votre expérience de lecture en VO !

Calypso

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